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Qui sommes-nous ?
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La qualité des prairies
La qualité nutritionnelle de l’herbe se mesure généralement par sa digestibilité, sa teneur en protéines et en matière sèche, aspects qui peuvent être influencés par la nutrition des plantes.
La digestibilité dépend de leur stade de développement et leur nutrition : des prés jeunes et feuillus ont des niveaux de D et d’EM plus élevés que ceux qui ont commencé à monter en graine ou qui contiennent beaucoup de matière organique morte. Dans les prairies de fauche qui bénéficient d’une stratégie de nutrition équilibrée, l’herbe aura meilleur goût que celles qui n’ont pas reçu suffisamment d’engrais.
Le niveau de protéines dépend du stade de développement de l’herbe et de la nutrition des plantes, surtout de l’apport d’azote. Le niveau augmente au début du printemps. La formation des protéines dépend de la capacité d’absorption de l’azote des plantes dans le sol, qui peut être influencée par des applications d’azote mais aussi par les niveaux de potasse et de soufre, ainsi que le pH du sol.
La teneur en matière sèche est l’aspect le plus variable et le difficile à maîtriser. Une teneur faible est souvent due à un temps pluvieux et des conditions de croissance médiocres. Non seulement cela a un effet direct sur le rendement, mais cela tend aussi à réduire la qualité, d’où une moindre consommation journalière par les animaux. En outre, avec l’ensilage, une teneur élevée en matière sèche (> 40 %) peut aussi faire baisser la consommation par les animaux.
Asie et Oceanie