-
Solutions cultures
-
-
Qui sommes-nous ?
Agriculture durable
-
Sans fertilisation, il est bien compliqué d’assurer un rendement adéquat, en comptant seulement sur l’apport naturel en éléments minéraux. Produire des aliments de qualité, en quantité suffisante, en prenant en compte la préservation de l’environnement, tout en favorisant la production locale, tel est l’enjeu de la fertilisation d’aujourd’hui ! Et dans le contexte sanitaire actuel, cet enjeu n’en est devenu que plus grand.
Au cœur des enjeux agronomiques, économiques et environnementaux, la nutrition des cultures a souvent été considérée comme un sujet secondaire pour lequel la reconduite de solutions identiques chaque année suffirait. Néanmoins, la crise sanitaire que nous subissons a démontré combien ce sujet est devenu stratégique. Pourtant, le sol, le climat, les cultures, sont des variables différentes chaque année. La fertilisation, aujourd’hui, s’inscrit donc dans une dynamique d’optimisation.
La prévision au moyen d’un plan fumure n’est qu’un point de départ, il faut ensuite affiner celui-ci avec des mesures ou observations. Voici un certain nombre de questions à se poser avant de commencer à fertiliser.
Ces questions en amènent d'autres :
Tant de questions sans réponses si l’on ne se donne pas les moyens de récolter des données. Quelques actions et analyses répertorient les actions, analyses qui permettent d’appréhender et d'optimiser la fertilisation. Ceci se fait de plus en plus à partir d’outils de pilotage des cultures ou d’outils d’aide à la décision, associés à l’expertise de l’exploitant.
Plan prévisionnel de fumure : Il s’agit d’un document annuel qui récapitule la façon dont les besoins en azote seront couverts par la fumure azotée organique et minérale. Ce document est établi en début de campagne, et obligatoire pour les exploitations en zone vulnérable.
Analyse foliaire : Primordiale pour faire un état des lieux sur le développement de la plante, elle permet d'identifier le cas échéant des déficiences de nutriment avec Yara Megalab™.
Pilotage : Choisir la bonne dose et le meilleur moment entre les besoins de la culture et les conditions climatiques pour maximiser l’efficacité de l’apport avec Yara N-Tester ®. Il vaut mieux par exemple retarder un apport d’azote que de le réaliser en l’absence de pluie prévue, ou sur un profil de sol desséché.
Modulation intra-parcellaire : Elle vise à mieux appréhender l’hétérogénéité de la parcelle. Tout comme le cycle biogéochimique des éléments nutritifs dans le sol et la plante, le raisonnement de la fertilisation s’inscrit lui aussi dans un cycle continu.
Le rendement est un objectif, mais n’est pas le seul enjeu agronomique de la fertilisation. Les qualités nutritionnelles et gustatives sont aussi une problématique à laquelle l’apport d’éléments nutritifs doit répondre.
L’azote est l’élément le plus absorbé, en grande quantité, par les cultures lors de la croissance. La fertilisation azotée a permis de doubler les rendements depuis le début de son utilisation. Ne vous y trompez pas, la fertilisation ne force pas la plante, elle se limite à fournir la quantité d’azote nécessaire à une croissance optimale.
La qualité des productions agricoles est conditionnée par l’apport en éléments nutritifs. Pas moins de 40% des protéines végétales sont produites grâce à l’apport d’azote d’origine industrielle : une sous-nutrition en azote va impacter à la fois le rendement et la teneur en protéine.
En résumé, maintenir la fertilité chimique du sol des parcelles, sans omettre sa fertilité biologique et physique constitue le socle sur lequel s’élabore la nutrition et le développement des cultures. Si cet équilibre est respecté, les rendements sont bons, ainsi que la qualité des cultures.
Créez, sans limites, des cartes d'applications d'azote et testez différentes stratégies de fertilisation sur votre première parcelle. C'est gratuit !
Contactez-nous sans attendre en remplissant un court formulaire,
nos équipes vous répondront dans les plus brefs délais.