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Extrait d’un article publié sur le site www.unifa.fr
Parler de fertilisation azotée, c’est prendre en considération de manière indifférenciée les multiples formes d’engrais contenant de l’azote mis à la disposition des agriculteurs par les industriels de la nutrition des plantes. Selon leur état (solide ou liquide) et leur composition, les engrais azotés influent sur la disponibilité de l’azote pour les cultures et donc, par extension, sur leurs rendements et leur qualité (teneur en protéines).
Les formes d’engrais azotés les plus utilisées en Europe sont les ammonitrates, l’urée et la solution azotée, aux côtés des engrais composés NPK. L’utilisation des ammonitrates est une particularité du marché européen, et de la France en particulier (1er pays au sein de l’UE par sa surface cultivée).
Le continent européen comprend une quinzaine d’entreprises productrices d’ammonitrates avec des usines situées dans une vingtaine de pays fournissant le marché en proximité. Il comporte aussi des producteurs d’engrais composés proposant de nombreuses formules d’engrais NP-NK-NPK adaptées aux besoins des cultures et à la fertilité des terres. A l’inverse une grande part de l’urée et de la solution azotée, produits standardisés au niveau mondial, est importée depuis des pays hors de l’Union Européenne (USA, Russie, Algérie, Egypte…).
Les industriels de la fertilisation azotée réunis au sein de l’UNIFA proposent des produits de haute qualité, respectant strictement la réglementation européenne qui est parmi l’une des plus exigeantes au monde. Promoteurs de la fertilisation raisonnée, des bonnes pratiques de fertilisation et de l’innovation, ces acteurs de proximité poursuivent un objectif : la création de valeur pour une agriculture française compétitive, durable et responsable.
Tour d’horizon de la fertilisation azotée en France.
L'azote est un élément essentiel pour la production de protéines végétales. Il agit aussi directement sur la croissance et la photosynthèse dont découlent rendement et qualité. Toutes les familles de végétaux, à l’exception des légumineuses (pois, haricot, soja…), absorbent exclusivement l’azote minéral présent dans les sols sous les formes ammoniacale et préférentiellement nitrique.
Les fertilisants azotés se distinguent les uns des autres par le type d’azote utilisé (uréique, ammoniacale ou nitrique) et par leur forme (solide ou liquide).
Les agriculteurs français ont à leur disposition plusieurs types d’engrais azotés sur leurs exploitations, permettant de satisfaire toutes les cultures, et tous les types d’usage. Les formes les plus utilisées sont en particulier :
D’après une étude menée par l’UNIFA* en février/mars 2018 auprès d’un échantillon représentatif de 667 agriculteurs, la forme d’engrais azoté la plus utilisée, par 70 % des agriculteurs interrogés est l’ammonitrate. Viennent ensuite la solution azotée (43%) et l’urée granulée (34%). Sont ensuite cités les engrais composé sous forme granulé (NPK - NP - NK / 24%), puis les engrais NPK – NP – NK de mélange.
D’après une étude menée par l’UNIFA* en février/mars 2018 auprès d’un échantillon représentatif de 667 agriculteurs, la forme d’engrais azoté la plus utilisée, par 70 % des agriculteurs interrogés est l’ammonitrate. Viennent ensuite la solution azotée (43%) et l’urée granulée (34%). Sont ensuite cités les engrais composé sous forme granulé (NPK - NP - NK / 24%), puis les engrais NPK – NP – NK de mélange.
*Etude quantitative UNIFA/DATAGRI – Perception des engrais minéraux azotés – Enquête menée du 23 février au 12 mars 2018, par email et téléphone, auprès d’un échantillon représentatif de 667 agriculteurs.